mardi 30 mars 2010

Paris Arrivée

Je suis arrivée à bon port OUF!!!!
Après quelques heures de train et une lecture assidue de l'aventure "les Rêveurs", Le réveil des anciens dieux de David et Leigh EDDINGS - Fantasy - J'arrive sur le quai bien connu de la gare Montparnasse. Heureusement pour moi je n'ai pas choisi d'arriver un lundi à une heure de pointe, sinon jvous dis pas la galère pour se déplacer à 2 pieds... mais avec 2 sacs à dos accrochés sur vous, qui vous font ressembler à une baleine échouée sur une plage citadine dont deux courtes pattes dépassent de l'ensemble. Je vous laisse imaginer. Et rajoutons à tout ça, une superbe valise noire à trainer aussi lourde qu'une enclume et qui me fait avancer à la vitesse d'un escargot fatigué... Bref l'élégance n'était pas de mise. Je prie pour que le métro ne soit pas bondés, les parisiens pas trop bougons et surtout surtout pas trop d'escaliers! La souffrance quand on est chargé comme je l'étais! Mais le genre humain étant ce qu'il est . Certains m'ont ignoré -les ... - et d'autres âmes charitables ont bien voulu m'aider jusqu'en haut des escaliers. Enfin peut-être juste que je leur bloquais le chemin de la sortie, coincée avec mes affaires sur l'escalier...Alors ils ont pas eu le choix, s'ils voulaient rester coincée derrière moi, ahaha. Bon en dehors de ça, j'ai droit au 1er cliché parisien : la morosité habituelle qui caractérise un VRAI parisien dans le métro. C'est pas encore mon cas. Moi, j'étais plutot soucieuse de pas louper ma station, faudrait pas non plus que je me mange le double d'escalier:)

Métro, Métro, ensuite le bus. Les quelques gouttes qui se déversaient lorsque je suis partie (on pleurait mon départ là-haut c'est sûr), se sont transformées entre temps en pluie incessante sur Paris. Zut je vais devoir marcher et je vais être trempée.
Je descends, je suis presque arrivée à destination. Plus que 10 minutes. Les plus difficiles. Mon dos, mes épaules souffrent. Aaargh. Au bout de 5, je m'arrête et là jme dis que dans tout bon film américain. C'est à ce moment que le prince charmant arrive, on ne sait d'où pour sortir la malheureuse du pétrin. Alors je tourne la tête, pivote, gigote, scrute l'horizon... Personne. Ah si des Dizaines de personnes viennent de passer en ... 1 seconde.. oui... le train n'est pas loin. Je repars et flûte pas de prince charmant. Jamais là quand il faut celui-là! Manquerait plus que je le rencontre quand je sors les poubelles en jogging et cheveux gras. Passons l'apparté et revenons à mon arrivée à Paris sous la pluie.

Je suis épuisée mais ARRIVEE!!!!

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